Page d'AccueilÉcrire au WebMaster
Passez la souris sur un bouton pour voir un résumé de son contenu.


La montée des marches Le Projet
Ce sont les petits enfants de Gérard (Orsini, Boisset, Charaix) qui, après avoir eu l'envie de réaliser la rencontre du 25 avril 2011, ont mené à terme ce difficile projet, et ses enfants (Huguette, Yvette, Maurice) qui nous ont accueilli dans leur 'domaine' des Hautes Plaines de Gagnières.
Les contributions de Corinne et Gérard, Annie, Élisabeth et Jean-Claude, sans oublier les apports plus modestes de Marie-Hélène et de Thierry, sont venues s'ajouter à la mienne pour former une impressionnante série de 341 photos qui donnent une bonne représentation de la journée du 25 avril.
Il n'est pas trop tard pour en ajouter d'autres.
J'ai profité de cette richesse pour remplacer les photos du "trombinoscope" qui n'étaient pas ressemblantes et pour associer une image "en pied" et un "portrait" à chacun des participants.
Afin de faciliter le parcours des 511 photos disponibles sur le site (une même photo a pu être la source de plusieurs représentations individuelles), j'ai réparti les images en six diaporamas (qui peuvent être parcourus automatiquement ou manuellement en utilisant les boutons multimédias affichés) :
- "Présents" contient 132 (2 x 66) portraits et "vues en pied",
- "Apartés" contient 98 petits groupes de deux, trois ou quatre personnes,
- "Groupes" contient 85 photos de groupes un peu plus importants,
- "Escaliers" contient 74 vues des participants regroupés par "génération" ou réunis,
- "Autres" contient 56 images que je ne savais où ranger (dont le pèlerinage des Félix à la Vigière),
- "Qui suis-je ?" propose d'identifier le personnage principal d'une dizaine de photos tirées au hasard parmi 198 (dont 66 sont prises de 3/4 ou de dos !).
Il est bien évident que je m'engage à retirer toute photo qui, pour des raisons esthétiques, personnelles, philosophiques ou religieuses, serait susceptible de contrarier les personnes (ou leurs responsables légaux) 'exposées' sans leur accord.
Mise à jour des pages généalogiques
C'est la prochaine étape. J'ai reçu, particulièrement des descendants de Félix, de précieuses indications sur les onzième et douzième générations des descendants d'Anthoine Charaix d'Elze mais, personne n'est à l'abri d'une demande de précisions qui pourrait accompagner le message d'avertissement de la mise en ligne de la nouvelle version de la "cousinade".
Contact : rene@charaix.com
La maison Charaix Le Couple Fondateur
Cyprien Marius Charaix, né au Puech de Malarce le 25 novembre 1864, épouse le 23 mai 1890 à Malbosc,
Léontine Philomène Nadal née le 11 octobre 1868 à Sabuscles, et s'installe à Gagnières.
Les Frères (et Soeur)
Marius (1890-1958) épouse en 1919 Julia Chazal (1893-1988) de Courry,
Victor (1895-1982) épouse en 1920 Henriette Noël (1900-1986) de St Paul le Jeune,
Félix (1900-1963) épouse en 1925 Georgette Larguier (1905-1967) de Gagnières,
Roger (1902-1969) épouse en 1926 Henria Barthélémy (1905-1991) de St André de Cruzières,
Gérard (1904-1955) épouse en 1931 Rose Masméjan (1910-1974) de Villefort,
Édouard (1909-1974) épouse en 1930 Blanche Aymard (1909-1969) de Gagnières,
Jeanne (1912-2003) épouse en 1936 Roger Raoux (1913-2004) de Rochessadoule.
Les Germaines (et Germains)
En 1921, Renée de Victor et Henriette. En 1922, Hélène de Marius et Julia, et Rose de Victor et Henriette.
En 1927, Georges de Roger et Henria. En 1930, Liliane de Félix et Georgette.
En 1931, André d'Édouard et Blanche. En 1932, Huguette de Gérard et Rose.
En 1933, Ginette de Roger et Henria, Yvette de Gérard et Rose, et Robert de Félix et Georgette.
En 1936, Geneviève de Félix et Georgette, et Maurice de Gérard et Rose. En 1944, René d'Édouard et Blanche.
En 1946, Robert de Jeanne et Roger.
Les Rémudé(e)s de Germains (dont un parent est Charaix)
En 1944, Jeanne de Renée et René Jourdan. En 1948, Michèle de Georges.
En 1951, Gislaine de Renée et René Jourdan, Catherine de Rose et Jean Roux.
En 1954, Christiane de Ginette et Michel Cohade.
En 1955, Joëlle de Renée et René Jourdan, Gilbert de Rose et Jean Roux, Gérard d'Huguette et Dominique Orsini, Annie d'Yvette et Marcel Boisset.
En 1957, Véronique de Rose et Jean Roux, Patrick de Robert et Marie-Christine Benet, Christian de Georges et Andrée Pintard, Philippe d'André et Josette Labalme.
En 1958, Marie-Hélène de Liliane et Maurice Girard, Maxime de Robert et Marie-Christine Benet, Sylvie de Ginette et Michel Cohade, Dominique d'Huguette et Dominique Orsini.
En 1959, Thierry de Liliane et Maurice Girard, Christian de Robert et Marie-Christine Benet. En 1960, François de Liliane et Maurice Girard, Ghislaine d'Huguette et Dominique Orsini.
En 1961, Bertrand de Robert et Marie-Christine Benet, Isabelle de Robert et Marie-Christine Benet, Jean-François de Geneviève et Daniel Marin, Régine de Maurice et Yvette Tribes.
En 1962, Daniel de Maurice et Yvette Tribes, Monique d'André et Josette Labalme. En 1963, Nathalie de Robert et Marie-Christine Benet.
En 1964, Jean-Pierre de Geneviève et Daniel Marin, Gérard de Maurice et Yvette Tribes. En 1966, Hélène de Georges et Andrée Pintard.
En 1967, Élisabeth de Liliane et Maurice Girard. En 1969, Philippe de Liliane et Maurice Girard, Sophie de René et Josiane Thomes.
En 1974, Nicolas de René et Josiane Thomes.
Voyage en Gardèche Quelques dates importantes
Le lundi 5 avril 1599,
lorsqu'il signe devant maître Mourgues le contrat d'apprentissage qui le lie pour treize mois au maçon Burget du Plo de Sentenove, Anthoine Charaix qui a quitté Elze de bonne heure pour parcourir avant midi la petite dizaine de kilomètres qui le séparent de Gravières, écrit pour la première fois (à ma connaissance) notre nom de famille dans le grand livre des petites histoires.
Il n'est pas impossible qu'une lecture attentive aux AD de Nîmes de l'ensemble des registres de Pierre et Balthazar Marcy, notaires de Malons, apporte de nouveaux renseignements sur Anthoine Charaix et son frère utérin Jean Crégut dit Pincel d'Elze.
Le samedi 7 novembre 1615,
le curé Audibert bénit le mariage d'Anthoine Charaix fils de feu Anthoine d'Elze avec Françoise Jallet fille de François et Marie Folchier des Sabatiers de Conchaix, un hameau des Salelles. Le contrat de mariage passé le 14 juillet de la même année "par parole de futur" devant maître Mourgues révèle que le fiancé apporte une dot de 700 livres (et quelques menus cadeaux) et que son épouse reçoit (en échange), la moitié des biens familiaux (une belle propriété dont le bâtiment principal est toujours visible).
L'autre moitié suivra après le décès de François Jallet (vers 1616) ce qui n'ira pas sans mécontenter les deux frères de l'épouse.
Le samedi 14 juillet 1708,
André Charaix verse 50 livres d'acompte à Sauveur Parran du Puech, un hameau de Malarce, sur la dot qu'il a constituée à son fils Jean lors de son mariage avec Catherine fille de Sauveur et Anne Mathieue.
Comme dans le contrat de mariage précédent, c'est le marié qui apporte une dot (en échange de la désignation de la mariée comme héritière universelle de son père).
L'interprétation de cet acte, a priori anodin, permet de pallier la disparition des registres 'de catholicité' au cours de la tourmente de la Guerre des Cévennes. Il authentifie d'une part la filiation entre Jean et les Charaix des Salelles, et permet d'autre part de dater approximativement le mariage de Jean et Catherine puisque le notaire royal qui reçut le contrat de mariage est Louis Charaix, frère de Jean, décédé en 1703.

Le vendredi 23 mai 1890,
à 5 h du soir, Cyprien Robert maire de Malbosc, marie Cyprien Marius Charaix fils de feu Joseph et de Marie Brunel, cultivateur (?) du Puech de Malarce, et Léontine Philomène Nadal fille de feu Joseph et Marie Pagès, de Sabuscles.
Heureuse conclusion d'une tragédie pagnolesque, ce mariage vint légitimer la naissance précoce de l'ainé des Charaix. Sous le double patronage de Marie et Joseph (leurs grands-parents), les autres enfants naquirent à Gagnières.
Le lundi 25 avril 2011,
412 ans et 20 jours après le début de cet agenda, eut lieu la réunion que l'on sait.
Audite, fratres mei dilectissimi Je tiens tout d'abord à présenter mes excuses à toutes les personnes qui, n'ayant avec les Charaix que des relations de bon voisinage, pourront se sentir exclues ainsi qu'à celles et ceux qui trouveront ennuyeuse mon intervention.
Il y a 14 milliards d'années, 13 milliards 7 me souffle mon frère qui est toujours rigoureux, dans la purée initiale qui, après le Big Bang, se préparait à devenir l'univers, les généalogistes n'avaient pas trop de mal pour identifier la petite centaine de familles d'atomes. Par la suite, les choses se complexifièrent, et les connaissances sur les grands ancêtres sont réduites à des fragments (de mandibules) ou limitées à des prénoms comme cette autre Hélène qui fit le malheur de Troie et le bonheur de plusieurs. Il n'est peut être pas nécessaire de préciser que ce n'est pas la famille Addams, bien connue des cinéphiles (avec Gomez et Morticia), qui fut chassée du paradis terrestre et que les Legrand n'ont pas de lien de parenté indiscutable avec l'empereur Alexandre de Macédoine.
Néanmoins en France, vers la fin du moyen-âge avec la disparition du servage, qui en dissociant le paysan de la terre qu'il cultivait rendait plus difficile son identification, avec l'apparition des premiers registres paroissiaux devenus nécessaires pour régler les droits de succession, et vérifier le degré de consanguinité entre prétendants au mariage, les surnoms donnés aux individus (physique, métier, qualité, origine) devinrent héréditaires. Ils sont à l'origine de nos noms de familles.
Sans ambigüité, l'origine de Charaix est géographique et je ne prends pas un grand risque en lui donnant pour base le hameau de Charaix de la commune de St André Lacham bien qu'il existe un Charais dans celle de Pied de Borne et d'autres toponymes voisins en Ardèche, dans la Drome, en Haute Loire sans oublier l'anagramme bretonne.
Mais, me direz-vous, quelle est l'origine du lieu de Charaix ? On l'associe souvent au domaine du gallo-romain Caratius sans exclure la proximité d'un sommet rocheux (le Kar préceltique) ou d'un chemin charretier (de Carrus Char) et la transformation ardéchoise du Ka en Tcha.
Un mot sur l'orthographe pour dire qu'il n'y a rien a dire puisque la transmission est orale et que la transcription effectuée par le curé ou le notaire dépend de la qualité d'oreille du recevant et de la prononciation du déclarant ce qui explique les nombreuses variantes (RR, Y, S, E) d'autant que l'écriture des patronymes ne s'est réellement fixée qu'en 1870 avec la création du Livret de famille (la graphie la plus répandue est la notre, Charaix).
Quand au délicat problème de la prononciation, le CharÉ de Gagnières et de la basse Ardèche pas plus que le CharEX du reste de l'Univers ne doivent nous faire perdre de vue que l'on disait autrefois Tcha Raï aux hommes, Tcha Raïsse aux femmes et Tcha Raïssou/Tcha Raïssoune aux enfants.
Donc le matin du 5 avril 1599 (il y a 412 ans) Antoine CHARAIX quitta son village d'Elze, signa à Gravières un contrat d'apprentissage du métier de maçon et, après avoir franchi le Chassezac, épousa en 1615 Françoise JALLET qui apportait dans sa corbeille de mariage une belle propriété aux Salelles. Une centaine d'années plus tard, Jean, le petit dernier d'André CHARAIX, fonda, en épousant Catherine PARRAN, la lignée des Charaix de Malarce, paysans certainement pauvres, probablement honnêtes, vraisemblablement travailleurs et raisonnablement intelligents, qualités parmi lesquelles chacun d'entre nous doit pouvoir se retrouver.
Les Charaix de Gagnières sont issus de Marius Cyprien Charaix né au Puech de Malarce le 25 novembre 1864 qui épousa en 1890 Léontine Philomène NADAL née à Sabuscles le 11 octobre 1868. Ils donnèrent naissance :
En 1890 à Marius qui épousa Julia CHAZAL de Courry, en 1892 à Léonard qui ne vécut qu'un an, en 1895 à Victor qui épousa Henriette NOEL de Saint Paul le Jeune, en 1900 à Félix, mon parrain, qui épousa Georgette LARGUIER de Gagnières, en 1902 à Roger qui épousa Henria BARTHELEMY de St André de Cruzières, en 1904 à Gérard qui épousa Rose MASMEJEAN de Villefort dont la famille est à l'origine de la fête d'aujourd'hui, en 1909 à Édouard qui épousa Blanche AYMARD de Gagnières, ma maman, en 1912 à Jeanne qui épousa Roger RAOUX de Rochessadoule qu'un certain nombre d'entre nous ont connus dans leur activité professionnelle d'enseignant. De ces frères (et soeur) très proches sont issus :
En 1921, Renée de Victor et Henriette, la doyenne actuelle de la famille, qui vient de fêter son nonantième anniversaire. Elle est à l'origine des JOURDAN. En 1922, Hélène de Marius et Julia, puis Rose, ma marraine, de Victor et Henriette qui est la mère des ROUX, en 1927, Georges de Roger et Henria le premier des garçons et aussi, hélas, le premier disparu de sa génération, en 1930, Liliane de Félix et Georgette, qui est la mère des GIRARD, en 1931, André, mon frère, d'Édouard et Blanche, en 1932, Huguette de Gérard et Rose à l'origine des ORSINI, en 1933, Robert de Félix et Georgette, Ginette de Roger et Henria mère des COHADE, Yvette de Gérard et Rose génératrice des BOISSET, en 1936, Maurice de Gérard et Rose, Geneviève de Félix et Georgette procréatrice des MARIN, en 1944, René d'Édouard et Blanche, en 1946, Robert de Jeanne et Roger RAOUX.
Et nous voici donc réunis, 147 ans après la naissance de mon grand-père, entre cousins germains et "rémudés" de germains jusqu'au 4e degré de parenté selon le droit canon (ce qui je le rappelle était un obstacle dirimant au mariage), ayant en commun entre 1/4 et 1/16 des gènes de chacun des éléments du couple fondateur. Et je ressens, en cette Pâques tardive et ensoleillée, une profonde reconnaissance envers ceux qui ont écrit cette page, une étonnante connivence avec ceux qui l'ont vécue, et une chaleureuse sympathie pour ceux par qui elle va se poursuivre.
Qui suis-je ? In principio creavit Deus caelum et terram...
 
La fête de Pâques n'a lieu le 24 avril qu'un peu plus d'une fois par siècle, mais, de mémoire de vivants, jamais, en dehors des mariages et enterrements de naguère, rassemblement comparable à celui que nous venons de vivre n'avait eu lieu. En effet, c'est une bonne cinquantaine de parents proches, germains ou "rémudés" de germains, accompagnés d'une dizaine d'aimables et sympathiques "pièces" (que nul ne semblait décidé à "rapporter"), qui se sont retrouvés à Gagnières, village où s'établit le couple originel(1). Et si les mille yeux d'Argos eussent été nécessaires pour observer le déroulement de cette étonnante réunion dans laquelle le minimum de consanguinité était du 4e degré - ce qui en droit canon est un obstacle dirimant au mariage (mais ce dernier n'était pas un objectif de la journée) - il n'eût pas fallu moins des cent bouches de la Renommée pour le dire.
En l'absence des organes sus-cités mais avec l'assistance périlleuse des vins de Bourdic, mon témoignage se résumera à quelques remarques imparfaites que chacun complètera de ses propres observations.
Et tout d'abord, et en dehors de toute préséance généalogiquement chronologique(2), des bouquets de remerciements aux enfants de Gérard qui nous ont si bien accueillis, et des gerbes de félicitations à ses petits-enfants (ORSINI d'Huguette, BOISSET d'Yvette, CHARAIX de Maurice) qui ont conçu, développé et mené à terme cette difficile entreprise.
À Hélène fille de Marius, une corbeille de compliments pour la réussite (relative) de ses prières météorologiques, sa vitalité indestructible et les mots de bienvenue qui ouvrirent la fête (déjà un peu entrebâillée).
En dépit de festivités familiales parallèles, les filles de Victor, Renée JOURDAN, notre doyenne, et Rose ROUX, firent une apparition éclatante de bonne santé nonagénaire et, portèrent à onze (sur treize) le nombre de germains présents sur la photographie de la deuxième génération(3)(4).
Les descendants de Félix (GIRARD de Liliane, MARIN de Geneviève, CHARAIX de Robert), nombreux et enthousiastes, n'avaient, pour certains d'entre nous, qu'une existence virtuelle. Ce ne fut pas un mince plaisir que de constater qu'avec des souvenirs complémentaires nous partagions le même attachement à la saga gagniéroise.
Ginette COHADE, la fille de Roger, fit apprécier sa présence blonde, volubile et souriante.
Quand à André et René, les enfants d'Édouard, si le premier est à l'origine de la forte densité de CHARAIX mâles présents dans l'assemblée, il n'est peut-être pas nécessaire de dire que la modestie du second s'est fort bien accommodée des gentillesses qui suivirent son intervention.
Visages oubliés qu'un regard ressuscite, émotions ressurgies d'une photo fanée, souvenirs enjoués qui font les yeux humides... Peut-on dire le temps, les rêves, les regrets ?
Merci d'avoir enrichi ce mémorable lundi 25 avril 2011 de votre présence chaleureuse.
 
(1) Marius Cyprien Charaix né le 25 novembre 1864 et Léontine Philomène Nadal née le 11 octobre 1868 à Sabuscles. Ils se marièrent à Malbosc le 23 mai 1890.
(2) Marius (1890) et Julia CHAZAL, Victor (1895) et Henriette NOEL, Félix (1900) et Georgette LARGUIER, Roger (1902) et Henria BARTHELEMY, Gérard (1904) et Rose MASMEJEAN, Édouard (1909) et Blanche AYMARD, Jeanne (1912) et Roger RAOUX.
(3) André (1931), Geneviève (1936), Georges (1927), Ginette (1933), Hélène (1922), Huguette (1932), Liliane (1930), Maurice (1936), René (1944), Renée (1921), Robert (1933), Robert (1946), Rose (1922), Yvette (1933).
(4) La troisième génération commence avec Jeanne (1944) de Renée JOURDAN et se décline en trente-cinq épisodes jusqu'à Nicolas (1974) de René (en se limitant aux couples dont un membre est CHARAIX).