La Caverne | Le Roman de la Rose - Le Conte du Graal Moby Dick - La Ferme des Animaux |
Fables | Paraboles |
La Haine est un ivrogne au fond d'une taverne, Qui sent toujours la soif naître de la liqueur Et se multiplier comme l'hydre de Lerne. |
" Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? " dit cet animal plein de rage. |
Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : " souviens-toi ! " |
Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage... La chair est triste, hélas !... Les sanglots longs des violons de l'automne... Qu'un sang impur abreuve nos sillons ! La raison tonne en son cratère c'est l'éruption de la fin. |
Une aile d'avion. Un torrent de paroles. Nadal, roi de Roland-Garros. Il pleut à seaux. La Corse, île de beauté. Paris, ville lumière. |
Je suis d'la mauvaise herbe, Braves gens, braves gens, C'est pas moi qu'on rumine Et c'est pas moi qu'on met en gerbes, La mort faucha les autres... |
L'Aurore aux doigts de rose. Les Achéens aux beaux jambards. Ulysse aux mille ruses. |
La terre est bleue comme un orange... Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage... |
C'est le lit cotonneux où les enfants tapis, Comme de beaux oiseaux que balancent les branches... |
Tel père tel fils. Comme on fait son lit, on se couche. |
Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! Rome qui t'a vu naître, et que ton cour adore ! Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore ! |
Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré ! |
Il neigeait. On était vaincu par sa conquête... Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche... Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre Des chevaux morts... |
Moi, président de la République, je... ( 16 fois ). |
Trop d'impôt tue l'impôt. Travailler plus pour gagner plus. ...Ce n'est pas ma faute. ( Valmont - 8 fois ) Celui que la morale a condamné, celui que l'opinion publique a condamné, l'acquitterez-vous par vos suffrages ? |
Marabout, bout de ficelle... Et rose elle a vécu ce que vivent les roses... Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle. Le coeur à ses raisons que la raison ne connait point. Brûlé de plus de feux que je n'en allumai. La plupart sont venus |
La sentinelle déclara qu'il s'était endormi. Qui se ressemble s'assemble. Un jour de canicule sur un véhicule où je circule... À la tienne, Étienne. |
Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée. J'ai pris l'avion, le train, le bateau et finalement un taxi. Quand on m'aura jeté, vieux flacon désolé, Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé... Va, cours, vole, et nous venge. Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles... Est-ce là comme on aime et m'avez-vous aimé. |
Mon Dieu ! Ma chère, que ton père a la forme enfoncée dans la matière ! Que son intelligence est épaisse et qu'il fait sombre dans son âme ! Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux. |
Ce que je méritais, vous l'avez emporté. Qui l'a gagné sur vous l'avait mieux mérité. Qui peut mieux l'exercer en est bien le plus digne. En être refusé n'en est pas un bon signe. Vous l'avez eu par brigue étant vieux courtisan. L'éclat de mes hauts faits fut mon seul partisan... Et par là cet honneur n'était dû qu'à mon bras. Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas. |
Il n'avait pas de fange en l'eau de son moulin Il n'avait pas d'enfer dans le feu de sa forge. Il attendait la guerre, elle attendait ma mère. |
Le corbeau honteux et confus... Je l'ai vu de mes yeux. Au jour d'aujourd'hui. - Monter en haut. |
Cent pour cent des gagnants ont tenté leur chance. Certains hommes sont grands, d'autres pas. |
Les Euménides/Bienveillantes pour désigner les Érinyes/Déesses infernales C'est du propre ! - Nous voilà bien. |
Je meurs de soif auprès de la fontaine, Chaud comme feu, et tremble dent à dent, En mon pays suis en terre lointaine, Lez un brasier frissonne tout ardent... Ver de terre amoureux d'une étoile... |
Ne vous l'avais-je pas dit ? - C'est-y Dieu possible ? Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu Un clair-obscur. Que je bénis, seigneur, l'heureuse cruauté... |
Monsieur Untel pour ne pas le nommer. Il est inutile de vous rappeler que ... Je ne parlerai pas de ... |
Tous les deux poussèrent, en même temps, un cri de stupeur en ne se reconnaissant ni l'un ni l'autre. Lui, ce n'était pas Raoul. Elle, ce n'était pas Marguerite. |
Plus il y a de gruyère, plus il y a de trous. Or, plus il y a de trous, moins il y a de fromage. Donc, plus il a de gruyère, moins il y a de fromage. |
Un problème comporte toujours une solution. S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème. |
Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine... Je suis entré dans le troisième âge. Va, je ne te hais point ! Ce n'est pas mal. Elle n'est vraiment pas conne. |
Je suis mort de rire. Ça me tue. Il était beau comme un dieu. Ça ne casse pas trois pattes à un canard. Il est laid comme un pou. |
Un steak si saignant qu'on aurait pu le manger avec une paille. Quand les poules auront des dents. |
Boire un verre. Une troupe de cent fusils. Paris a froid, Paris a faim. |
Un don Juan. Un Tartuffe. Suivre le Tour. Elle a vu la Vierge. Il a perdu sa langue. Il fait soif. |
L'empire du soleil levant. Celui de qui la tête au Ciel était voisine et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts. |
Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? L'enfant se sent selon la lenteur des caresses... |
Ton thé t'a-t-il oté ta toux ? Un chasseur sachant chasser sans son chien... |
Tout m'afflige et me nuit et conspire à me nuire. Et pour quelles raisons bizarres Son image a marqué ma mémoire. |
Je t'aimais inconstant, qu'aurais-je fait fidèle ? Froid, moi ? Jamais ! (auto)bus - (beef)steak - (amé)ricain - (Ni)colas - (bon)jour auto - ciné - vélo - kiné - math - So(phie) |
Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Le nez de Cléopâtre, s'il eut été plus court, La face du monde en eut été changée. |
Tu vas ouïr le comble des horreurs. J'aime... à ce nom fatal, je tremble, je frissonne. J'aime... Vêtu de probité candide et de lin blanc. Ah ! Savez-vous le crime et qui vous a trahie ? |
De leur champ, dans leurs mains, portant les nouveaux fruits. Il viendra quand viendront les dernières ténèbres. Albe le veut, et Rome ; il leur faut obéir. En rentrant il dut subir son père et sa colère. |
Ils avançaient obscurs dans la nuit solitaire. Lors même que... - Les aspects socio- et politico-économiques. Me voici. - Qui plus est. - Pas même. |
Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur... Se rappeler de quelque chose. - Je voudrais qu'il vienne. Si tu vois Paul, tu lui diras de venir. Si tu le vois, tu diras à Paul de venir. |
Tu l'as voulu, tu l'as eu - Tel père, tel fils. Cet homme est habile, il réussira. Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir. Voter utile. - Il vient demain. |
Le type ressemblait à Gérard. Gérard avait été... Vous me direz que... Lundi, je confesserai les vieux et les vieilles. Ce n'est rien. Mardi, les enfants. J'aurai bien tôt fait. |
Sire rat accourut, et fit tant par ses dents Qu'une maille rongée emporta tout l'ouvrage. Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. |
Photocopillage - apéricube - foultitude Tragi-comique - franglais - motel |
Orgie : l'amour avec un grand tas. - Veuve : Concentrique Les nouilles cuisent au jus ce cane. |
Un hussard de la farce et un dindon de la mort. Artiste attristé - Un voile violé. |